Petits clins d’œil d’une Petite soeur de l'Assomption...

...Pour cette belle croisière vécu cet été

Début Août, 11 jeunes Espagnoles, un jeune vietnamien, une oblate et deux Petites sœurs de l’Assomption ont eu l’occasion d’embarquer pour une « Croisière sur

la Seine

», de 6 jours en pays totalement inconnu qu’est le « Je sers »,

La meilleur façon de vous partager ce que nous avons vécu c’est d’entendre c’est quelques expressions qui donnent de la couleur au vécu.

 Pour chacun de ceux qui ont répondu à ce projet, ce qui importait c’était de vivre

la Solidarité

avec des personnes dans le quotidien, en pays Européen.

Pour nous comme pour ceux accueilli sur le bateau, le pari a été tenu. Il a permis d’ « Accueillir "l'étrange dans l'ordinaire" ; de manger à une table tous ensembles ; d’être dans un pays où l'on ne sait pas où l'on est ; de vivre la folie de la rencontre ; de prendre dans nos mains, des mains d'une autre couleur ; de ne pas perdre son rêve personnel ; de communiquer sans parole … »

 Mais pour le groupe, vivre la solidarité désirait résonner avec la foi et nous nous sommes laisser porter par les horaires qui rythment la vie du bateau et qui structurent chacun. Ainsi, l’expérience s’est tinté de milles actions de grâce qui a éclairé notre foi dans la relecture : « Dans la régularité des prières, nous avons chanté les psaumes comme lumière de vie ; les plus pauvres nous ont émerveillés lors de la messe  par la concélébration ; nous avons choisi de rester debout avec Jésus au cœur de la nuit devant la souffrance du monde lors de la nuit d'adoration. »

 Dans la rencontre des femmes, des enfants, de toute personne sur le bateau, c’est dans

la Solidarité

que nous avons pu mettre des couleurs, entendre l’autre, sentir la vie… : « ensemble nous avons donné un visage à des pays inconnus : regarder la carte, écouter sa musique, danser sur d’autres rythmes ; nous avons aussi écouter les bruits de

la Seine

, le silence des bateaux, la vie des familles ; sans oublier, l'histoire des hommes et des femmes qui vivaient sur

la Seine

par des témoignages. »

 Pour conclure je laisserai résonner c’est trois phrases qui peuvent être pris selon différents sens. Ce séjour nous a permis pendant une semaine de :

 - sentir que 'notre sol se bouge' »

 - Prendre des toiles d'araignées pour tisser des liens entre des personnes »

 - Apprendre à dire au revoir comme nous avons appris à se dire bonjour »

 Un seul mot peut résumer cette belle réalisation Inter-Assomption :Merci

Patricia SACRE, Petite Sœur de l’Assomption